
Il publie aux Editions Relatives une édition augmentée de son livre « Rock en vrac » épuisé depuis plus de dix ans : https://editionsrelatives.fr/rock-en-vrac/
Avant de se lancer dans une carrière de romancier, Michel Embareck a travaillé dans le journalisme musical, notamment au magazine Best de 1974 à 1983. Par la suite, journaliste dans un quotidien de province, chargé des faits divers et de la justice, il a poursuivi une carrière d’écrivain, publiant des romans populaires et des romans policiers sur la délinquance financière.
Ces dernières années, s’éloignant du noir ou du polar, il a publié des romans basés sur l’histoire musicale (blues, rock, country) qui forment une sorte de trilogie autour de la musique américaine et de l’histoire des Etats-Unis des années 60 à aujourd’hui (Jim Morrison et le diable boiteux, Bob Dylan et le rôdeur de minuit, Une flèche dans la tête).
Amateur de rugby, il a également publié deux fictions autour de ce sport (Le Futon de Malte et Le Temps des citrons). Depuis la Coupe du monde en France en 2007 et jusqu’en 2013, il est intervenu dans les colonnes du quotidien Libération à l’occasion des matchs internationaux de rugby dans une chronique intitulée « A retardement ». De 2012 à 2016 il a animé à Sciences Po Paris un atelier d’écriture intitulé « Derrière la vitre du monde ».
Ses romans policiers ont fait l’objet d’un long article dans Le Dictionnaire des littératures policières de Claude Mesplède. Il apparait également dans Le Dictionnaire raisonné de la littérature rock de Denis Roulleau.
Plusieurs de ses livres figurent dans une étude l’Institut national de la langue française intitulée « Richesse lexicales du français contemporain » en partie reprise dans Le Dictionnaire des expressions quotidiennes.
Ses textes sur le rugby (chroniques et fictions) sont largement évoqués dans le livre de Richard Escot et Benoît Jeantet Jeux de lignes.
Il publie aux Editions Relatives une édition augmentée de son livre « Rock en vrac » épuisé depuis plus de dix ans : https://editionsrelatives.fr/rock-en-vrac/
(Photo SD Maryan Harrington)